Il y a quatre différents moyens de transport pour les déchets radioactifs :

-la voie routière

-la voie ferroviaire

-la voie maritime

-la voie aérienne

La route est le moyen de transport le plus utilisé (à 80%). On s'en sert essentiellement pour le transport des déchets pharmaceutiques (la recherche...) et hospitaliers (le matériel pour radiographies...) ainsi que des petits déchets de centrales. Sur les nombreux transports se déroulant entre 1991 et 2000, on remarque seulement 3 accidents, qui n'ont pas entraîné d'irradiation permanente de la zone.

Les trains (16%) permettent de transporter les déchets plus imposants car ils sont plus sûrs que la route. La France s'en sert pour transporter des combustibles irradiés issus des centrales nucléaires (comme l'uranium).

La voie maritime (3,5%) achemine les déchets des centrales relativement isolées (îles, etc...) vers les centres de stockage. Ces navires subissent des contrôles très poussés car ils doivent impérativement posséder une double coque, un système de détection et d'extinction d'incendie, ainsi qu'une multitude de radars pour éviter le moindre choc (2 accidents sont à ce jour parvenus, mais aucune répercussion permanente n’a été remarquée).

Le transport aérien est rarement utilisé (moins de 1% des déchets). C'est pourquoi nous le citerons seulement.